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grandiose
Une création où se rencontrent peinture, matière et fil.
Chaque pièce commence par une aquarelle que j’ai réalisée, puis délicatement retravaillée et réimprimée sur le même papier aquarelle 300 g à grain que celui utilisé pour l’original.
La texture, la lumière, le grain : tout est préservé pour offrir une pièce aussi tactile que poétique.
Sur cette base, je brode à la main, point après point, avec des fils DMC soigneusement choisis.
La broderie vient ajouter un souffle, une vibration, une présence — comme une fleur séchée glissée entre deux pages, comme un souvenir qui dépasse du cadre.
Format papier : 18 × 24 cm
Format illustration : 14 × 20 cm
Présentation : envoyée non encadrée pour vous laisser le choix du cadre
Support : papier aquarelle 300 g à grain
Technique : aquarelle originale retravaillée puis imprimée + broderie main aux fils DMC
Délai de réalisation : 20 jours
Une pièce singulière, artisanale, pensée comme un fragment de douceur à accrocher ou à offrir.
Il y a des jours où le monde semble un peu froissé, où l’on parle trop de gris, pas assez d’éclats.
Alors pour cette fin d’année, j’ai préparé une série comme un vœu secret — tout ce que je nous souhaite pour l’avenir.
Oui, c’est peut-être un brin mièvre…
Mais je crois que le temps est venu de s’accrocher à ces choses-là : la douceur, la joie, l’élan, l’espérance qui persiste même quand tout chancelle.
J’ai peint des images comme des respirations : lumineuses, tendres, traversées d’un minuscule vent d’introspection.
Parce qu’à force d’entendre que tout est sombre, j’ai compris qu’il n’y a qu’une seule réponse possible : réveiller ce qu’il y a de meilleur en nous.
Quand tout s’assombrit, porte des couleurs.
Quand tout se contracte, souris encore plus fort.
Quand tout fait peur, ris — même dans la rue, même pour rien.
Quand le monde devient rugueux, sois plus doux, plus tendre, plus vivant que jamais.
Alors voilà : de petites bulles d’espoir, à s’offrir ou à offrir.
Un rappel discret que la lumière n’est jamais loin — il suffit parfois de la peindre, ou de la porter en soi.
Une création où se rencontrent peinture, matière et fil.
Chaque pièce commence par une aquarelle que j’ai réalisée, puis délicatement retravaillée et réimprimée sur le même papier aquarelle 300 g à grain que celui utilisé pour l’original.
La texture, la lumière, le grain : tout est préservé pour offrir une pièce aussi tactile que poétique.
Sur cette base, je brode à la main, point après point, avec des fils DMC soigneusement choisis.
La broderie vient ajouter un souffle, une vibration, une présence — comme une fleur séchée glissée entre deux pages, comme un souvenir qui dépasse du cadre.
Format papier : 18 × 24 cm
Format illustration : 14 × 20 cm
Présentation : envoyée non encadrée pour vous laisser le choix du cadre
Support : papier aquarelle 300 g à grain
Technique : aquarelle originale retravaillée puis imprimée + broderie main aux fils DMC
Délai de réalisation : 20 jours
Une pièce singulière, artisanale, pensée comme un fragment de douceur à accrocher ou à offrir.
Il y a des jours où le monde semble un peu froissé, où l’on parle trop de gris, pas assez d’éclats.
Alors pour cette fin d’année, j’ai préparé une série comme un vœu secret — tout ce que je nous souhaite pour l’avenir.
Oui, c’est peut-être un brin mièvre…
Mais je crois que le temps est venu de s’accrocher à ces choses-là : la douceur, la joie, l’élan, l’espérance qui persiste même quand tout chancelle.
J’ai peint des images comme des respirations : lumineuses, tendres, traversées d’un minuscule vent d’introspection.
Parce qu’à force d’entendre que tout est sombre, j’ai compris qu’il n’y a qu’une seule réponse possible : réveiller ce qu’il y a de meilleur en nous.
Quand tout s’assombrit, porte des couleurs.
Quand tout se contracte, souris encore plus fort.
Quand tout fait peur, ris — même dans la rue, même pour rien.
Quand le monde devient rugueux, sois plus doux, plus tendre, plus vivant que jamais.
Alors voilà : de petites bulles d’espoir, à s’offrir ou à offrir.
Un rappel discret que la lumière n’est jamais loin — il suffit parfois de la peindre, ou de la porter en soi.

